Ma vielle nature

« Je ne fais pas le bien que je veux, mais le mal que je ne veux pas, je le commets. 20 Si donc je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais mais c'est le péché qui habite en moi. Romains » 7 - 19

Ma vielle nature

 

«Un jeune chrétien se rend coupable d’un délit. Arrivé devant le juge, il essaie tant bien que mal d’expliquer la situation : « vous savez Monsieur le juge, ce n’est pas de ma faute.

Le nouvel homme en moi désire faire le bien, mais c’est mon ancienne nature, le vieil homme en moi, qui a commis cette faute. »

« Ah bon ? » répond le juge, « Je vois. Puisque c’est votre vieil homme qui a commis ce délit, je le condamne à 30 jours de prison. Et puisque votre nouvel homme a aussi été complice, je le condamne lui aussi à 30 jours de prison. »

Dans cet humour, nous voyons un homme se battre avec lui-même : son ancienne et sa nouvelle nature.
Dans l’ancien testament, nous étions sous la loi, à accomplir des devoirs stricts et inatteignables pour correspondre à ce que Dieu attend de nous.


Mais ce que Dieu attend de nous, c’est un cœur pur en bénéficiant de sa grâce divine.
Jésus le Christ a payé un grand prix qui nous permet de nous présenter devant notre Juge par son sang et son pardon.


Alors, lorsque notre vieille nature essaie de prendre le dessus sur notre nouvelle nature, rappelons-lui que Jésus est notre avocat, il a combattu pour nous. Les choses que nous faisions hier, nous ne les pratiquerons plus aujourd’hui, grâce au Saint-Esprit en nous et à la proclamation de la Parole de Dieu que nous devons déclarer à tout moment pour avoir confiance en nous ! Nous ne sommes plus esclaves de la peur ni du péché.

"Maintenant donc, il n'y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ. Car la loi de l'Esprit qui nous donne la vie dans l'union avec Jésus-Christ t'a libéré de la loi du péché et de la mort. Car ce que la Loi était incapable de faire, parce que l'état de l'homme la rendait impuissante, Dieu l'a fait : il a envoyé son propre Fils avec une nature semblable à celle des hommes pécheurs et, pour régler le problème du péché, il a exécuté sur cet homme la sanction qu'encourt le péché. Il l'a fait pour que la juste exigence de la Loi soit pleinement satisfaite en nous qui vivons, non plus à la manière de l'homme livré à lui-même, mais dans la dépendance de l'Esprit." Romains 8 – 1 à 4

 

Dina VIOMESNIL